Le weekend dernier, je faisais de la maintenance informatique. J’étais censé m’occuper de deux tâches que je n’arrivais pas à accomplir. Cela faisait dix fois que la réparation échouait, et je n’avais que le weekend pour résoudre le problème. Malgré un diagnostic préalable encourageant, l’exécution des tâches échouait. Mon chef d’équipe avait déjà dit que c’était impossible et qu’il fallait l’annoncer au client, mais je lui ai demandé un délai supplémentaire.
Puis je me suis rappelé les paroles de Pasteur Terri Copeland Pearsons : « Mon cher, affronte-le avec les langues, affronte-le ! » J’ai relancé la première tâche et j’ai commencé à prier en langues, les yeux rivés sur l’écran pendant tout le temps que le programme faisait le nécessaire et s’exécutait et arrivait à la fin avec succès. Soulagé (et supposant que tout se passait bien maintenant) j’ai fait la deuxième opération exactement de la même manière, mais sans fixer l’écran – et, de nouveau, échec ! Alors, j’ai suivi la procédure que j’avais employée pour la première tâche : j’ai relancé sans détourner les yeux et en lui parlant en langues jusqu’à ce que le programme s’achève avec succès !
À part le fait de parler en langues, je n’ai rien fait de différent par rapport aux innombrables fois où cela avait échoué auparavant. Finalement, ce que mon chef d’équipe avait déclaré impossible à faire, s’est fait par l’Esprit de Dieu.
J’ai une autre tâche à accomplir en deux jours que nous n’avons pas réussi à faire en un mois. Mon chef d’équipe imagine déjà d’autres façons de l’accomplir. Mais de nouveau j’ai demandé davantage de temps pour m’attaquer au problème. Devinez ce que je serai en train de faire pendant ce temps supplémentaire ?
Je sais déjà à l’intérieur de moi que cela va marcher à la gloire de Dieu.- Jiji (Luxembourg)
